Dionsois entre deux guerres

Après la première guerre mondiale, et malgré les trop nombreux morts, l’optimisme est général et la reprise économique réelle. Les « années folles » n’ont guère marqué nos campagnes, mais les joies simples de la vie de famille retrouvée et les menus plaisirs des fêtes et sorties locales suffisent au bonheur de nos parents ou grands-parents. Dans la montée des nationalismes qui caractérise les années trente, personne ou presque ne voit le danger. Le réveil en sera d’autant plus brutal …

En attendant, le travail, l’école, les fêtes votives ou religieuses, les joies de la campagne, les sorties, rythment la vie des enfants, adolescents, jeunes femmes et jeunes hommes.

Classes de garçons en 1928 et en 1934

Les communions

Enfants de chœur et "graines d'acteurs"

Baignade au Gardon et sortie en Avignon